​Sur les murs de la première salle, la semence se métamorphose en arbre robuste capable à son tour de disperser des graines de liberté. Depuis quelques années l'artiste s'intéresse aux arbres comme témoins d'une histoire, une histoire inscrite dans leurs chairs. Ici, elle dessine au fusain à même le mur s'inspirant de l'image de l'un des plus vieux chênes au monde, l'Angel Oak qui se situe en Californie. L'œuvre est éphémère, hybride et évolutive, celle-ci invite chaque visiteur à emporter un fragment de liberté chez soi.